On disait aussi qu’un Kodama pleurait lors de la chute d’un arbre et que le bruit de cette chute était en réalité sa plainte. Le parallèle est souvent fait avec les Dryades, nymphes grecques des arbres, dont il fallait s’assurer qu’elles avaient bien quitté la forêt qu’elles habitaient avant de la couper. Leurs sœurs, les Hamadryades, également nymphes des arbres, étaient elles tellement liées à l’arbre qu’elles naissaient, vivaient et mourraient avec lui.
Au Japon, Kodama reflète maintenant l’idée d’un esprit vivant dans l’arbre.